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QUIZ livre

Voici les réponses sur lesquelles tous les scientifiques sont d'accord. 

Pourquoi observe-t-on des phénomènes tels que des températures plus froides dans certaines régions, des chutes de neige abondantes, de gros grêlons, etc., qui semblent indiquer un refroidissement, alors qu'on parle de réchauffement et de perturbations climatiques globales ?

Ce paradoxe apparent s'explique par la nature complexe du système climatique de la Terre. Le réchauffement climatique, principalement causé par l'augmentation des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, ne se traduit pas simplement par une hausse uniforme des températures partout dans le monde. Au contraire, il perturbe les modèles météorologiques établis, entraînant des phénomènes climatiques extrêmes et imprévisibles.

Par exemple, la fonte des calottes glaciaires due au réchauffement global peut conduire à un afflux d'eau froide dans l'océan, modifiant les courants marins et les modèles de circulation atmosphérique. Cela peut provoquer des vagues de froid temporaire dans certaines régions. De même, l'air plus chaud peut contenir plus d'humidité, ce qui augmente l'intensité et la fréquence des précipitations, y compris sous forme de grêle.

En somme, le "réchauffement climatique" est en réalité un terme qui englobe une variété de changements climatiques, incluant non seulement des températures plus élevées, mais aussi des événements météorologiques plus extrêmes et moins prévisibles. Ces phénomènes comprennent des vagues de chaleur, des inondations, des ouragans plus intenses, mais aussi des épisodes de froid inhabituel et des tempêtes de neige ou de grêle sévères. Il est donc important de comprendre que le réchauffement climatique ne signifie pas une augmentation constante et uniforme des températures partout, mais plutôt une perturbation de l'équilibre climatique de la Terre, conduisant à des conditions météorologiques plus extrêmes et variables.

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Quelles sont les solutions concrètes pour inverser le réchauffement climatique ?

Face à l'urgence climatique, il est impératif d'investir massivement et stratégiquement. Les experts estiment qu'un investissement annuel de 1 000 milliards d'euros est nécessaire pendant une durée d'au moins 50 ans. Ce financement colossal servirait à mettre en place des technologies avancées et des initiatives à grande échelle pour réduire efficacement les émissions de gaz à effet de serre, promouvoir les énergies renouvelables, et surtout développer des méthodes de capture et de stockage du CO2 très onéreuses. Seule une telle mobilisation de ressources peut permettre de s'attaquer réellement aux causes et aux conséquences du réchauffement climatique et œuvrer pour un avenir plus durable.

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Dans quel délai devons-nous agir pour contrer le réchauffement climatique ?

L'urgence est absolue : nous avons moins de 10 ans pour agir de manière significative. Actuellement, nous sommes déjà en retard, et le climat cause des dommages irréversibles à grande échelle. Depuis 125 ans, les scientifiques alertent les gouvernements sur les risques du réchauffement climatique. Malheureusement, leur désespoir grandit face à la lenteur et à l'insuffisance des réponses politiques. Il est impératif que nous prenions des mesures concrètes et immédiates pour limiter les effets dévastateurs du changement climatique et éviter un point de non-retour.

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Plus de 46,3 millions de professionnels de santé ont signé le 8 novembre 2023 une lettre, adressée au président de la COP 28 (Dubaï-à partir du 30 novembre), Sultan Ahmed Al-Jaber, PDG de la compagnie pétrolière nationale d'Abu Dhabi, pour lui demander de veiller à ce que les négociations aboutissent à une "accélération de la suppression" des combustibles fossiles, "décisive pour la santé de tous". La conférence des Nations Unies pour le climat se tiendra du 30 novembre au 12 décembre prochains aux Émirats arabes unis et pour la première fois une journée entière sera consacrée à la santé. Malheureusement, cela ne changera rien ! Et personne au Monde semble vraiment déterminé à le faire... La circulation aérienne n'a jamais été aussi intense et l'usage des énergies fossiles aussi important. En Chine : 106 gigawatts (GW) de nouveaux projets ont été approuvés en 2022, soit l'équivalent de la construction de deux grandes centrales au charbon par semaine, le pire pour leur émissions de CO2.

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Pourquoi n'y a-t-il actuellement aucun changement significatif, et pourquoi les solutions proposées sont-elles contestées ?

La situation actuelle est complexe en raison de l'endettement massif de nos gouvernements, qui limite leur capacité à financer des initiatives efficaces pour sauver notre planète. Pour compenser leurs dépenses, ils se tournent souvent vers des solutions qui génèrent des revenus, comme les éoliennes. Cependant, ces solutions, bien qu'utiles pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, ne sont pas suffisantes pour inverser le réchauffement climatique. Ce manque de moyens financiers combiné à une approche axée sur la rentabilité crée une impasse où les mesures les plus efficaces ne sont pas toujours prioritaires, freinant ainsi les progrès nécessaires pour lutter contre le changement climatique.

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Que devons-nous faire immédiatement pour contrer le réchauffement climatique ?

Il est crucial de rediriger les budgets militaires mondiaux et de mobiliser les forces armées, ainsi que toute notre énergie et attention, vers la sauvegarde de notre planète plutôt que de les gaspiller dans des conflits armés destructeurs et inutiles où il n'y a que des perdants.

Un cessez-le-feu mondial, d'une durée d'au moins 50 ans, est essentiel pour protéger la Terre. Cependant, une action encore plus immédiate est nécessaire : un cessez-le-feu doit être instauré dès maintenant, pour lancer des négociations globales et vitales en faveur de la paix. Sans un tel engagement, les agitateurs de guerre risquent de pousser notre monde vers un point de non-retour, menaçant toute forme de vie sur Terre. Ce changement radical est une étape fondamentale pour redéfinir nos priorités et concentrer nos ressources sur la lutte contre le changement climatique, en particulier les capteurs de CO2 et la préservation de l'écosystème terrestre en cours de régression.

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" Œil pour œil et la Terre sera aveugle ! " (Gandhi)

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La guerre, dans son essence la plus cruelle, est un vortex de chaos qui engloutit tout sur son passage. C'est le désastre incarné, une tragédie sans nom qui se déroule sous nos yeux, frappant sans distinction et laissant derrière elle un sillage de dévastation. La guerre signifie la fin de vies innombrables, des existences brisées, des rêves anéantis. Elle est la faucheuse de l'innocence, emportant avec elle des âmes qui n'ont même pas eu le temps de comprendre la brutalité de leur fin. Ces morts ne sont pas de simples statistiques ; ce sont des fils, des filles, des parents, des amis - chacun avec une histoire, un visage, une mémoire.

Dans cette folie qu'est la guerre, nous voyons la plus grande absurdité de l'homme, un paradoxe douloureux où l'intelligence et la créativité qui pourraient édifier des mondes sont utilisées pour les détruire. Chaque conflit porte en lui la promesse amère de sa propre fin, un cycle répétitif de destruction et de désespoir où tout le monde est perdant. Pourquoi persister dans cette voie autodestructrice quand la fin est inévitable ? Pourquoi attendre la dévastation totale pour chercher la Paix ?

Nous nous trouvons à un carrefour décisif de notre histoire. La guerre n'est pas seulement une menace pour ceux qui se trouvent sur les lignes de front ; elle est une menace pour notre planète entière, pour l'avenir même de l'humanité. Chaque conflit retarde notre lutte collective contre les défis immenses auxquels nous sommes confrontés : le changement climatique.

Nous n'aurons pas de seconde chance ; il n'y aura pas de plan de secours pour la Terre.

La paix n'est pas un luxe ; c'est une nécessité urgente, absolue et vitale.

Mettre fin à la guerre maintenant, c'est choisir la vie, l'espoir et l'avenir. C'est choisir de donner une chance à notre planète, à nos enfants, et à toutes les générations à venir.

La paix est notre seule et unique voie pour sauver la Planète et l'Humanité.

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Quelles sont les mesures technologiques les plus urgentes et efficaces que les gouvernements peuvent demander et prendre ?

La priorité technologique pour lutter contre le réchauffement climatique, en attendant qu'un cessez-le-feu mondial puisse être négocié et permettre de rediriger le budget des armées, repose sur la réduction des émissions de CO2, le principal gaz à effet de serre contribuant au changement climatique. La première action que les gouvernements devraient impérativement imposer est l'installation de capteurs de CO2, connus sous l'acronyme CSC (Capture et Stockage du Carbone), dans les grandes installations industrielles, en particulier chez les plus gros émetteurs de CO2.

Cette mesure doit être appliquée en priorité par les entreprises les plus riches et les plus capables de supporter les coûts associés à cette technologie. Ces capteurs CSC sont conçus pour capturer le CO2 émis par les processus industriels avant qu'il ne soit libéré dans l'atmosphère, réduisant ainsi de manière significative les émissions de gaz à effet de serre, ce qui sera bien sûr insuffisant mais est nécessaire.

Pour les entreprises qui ne disposent pas des ressources nécessaires pour installer ces capteurs, une alternative serait de les soumettre à une taxe carbone proportionnelle à leurs émissions. Les revenus générés par cette taxe pourraient être utilisés pour financer la mise en place de capteurs de CO2 directement dans l'air, ou DAC (Direct Air Capture), une technologie permettant de capturer le CO2 directement de l'atmosphère. Cette approche assurerait que toutes les entreprises contribuent, à leur mesure, à la lutte contre le réchauffement climatique, tout en avançant vers un objectif de neutralité carbone.

 

Et à long terme ?

Bien que l'installation de capteurs de CO2 sur les installations industrielles soit une étape cruciale dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre, elle ne sera pas suffisante pour résoudre complètement le problème du réchauffement climatique. En effet, même avec une réduction significative des nouvelles émissions, nous serons toujours confrontés à l'excès de CO2 déjà présent dans l'atmosphère, qui constitue environ 51% de plus que les niveaux préindustriels.

Pour s'attaquer efficacement à ce surplus de CO2 et inverser les effets du réchauffement climatique, un recours massif à des technologies avancées telles que les capteurs de CO2 de type DAC (Direct Air Capture) est indispensable. Ces systèmes sont conçus pour capturer directement le CO2 de l'air ambiant, ce qui permet de réduire activement la concentration de ce gaz dans l'atmosphère.

La mise en œuvre à grande échelle de la technologie DAC représente un défi majeur, tant sur le plan technique que financier. Elle nécessitera des investissements considérables et une coordination internationale, étant donné l'ampleur du problème et la nécessité d'une action globale. En plus du coût initial de l'installation de ces capteurs, leur fonctionnement continu implique des dépenses énergétiques et des coûts d'entretien, ce qui souligne l'importance d'une transition vers des sources d'énergie renouvelables et durables pour alimenter ces systèmes.

En résumé, bien que la mise en place de capteurs CSC dans les industries soit un pas important, elle ne doit être que le début d'un effort plus vaste et plus ambitieux. Le recours aux capteurs DAC pour éliminer l'excès de CO2 déjà présent dans l'atmosphère est une composante essentielle d'une stratégie globale pour lutter contre le réchauffement climatique et assurer un avenir plus durable pour notre planète.

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Ces initiatives, combinées à une transition accélérée vers les énergies renouvelables et à des efforts de reforestation et de conservation des écosystèmes, constituent des étapes essentielles pour réduire les niveaux de CO2 dans l'atmosphère et atténuer les effets du changement climatique. Il est crucial que les politiques agissent rapidement pour mettre en œuvre ces solutions, en parallèle des négociations pour un cessez-le-feu global et une paix durable.

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